L’initiative du pays africain est particulièrement intéressante car les nouvelles technologies d’extraction, beaucoup plus performantes ont été pensées pour traiter les résidus de métaux dans les anciennes mines. Contenant encore une forte teneur en étain, cette idée judicieuse va permettre d’en extraire une bonne quantité.
Une remise en service réussie
Le Rwanda a donc installé du nouveau matériel dans les mines qui avaient été exploitées entre 1953 et 1973. Abandonnées du fait d’un rendement insuffisant, les nouveaux procédés ont immédiatement montré des résultats, preuve que le pays africain avait été particulièrement bien avisé en pensant à une réouverture des mines d’étain.
Il montre que les anciens sites ne doivent pas être complètement oubliés car ils peuvent être reconsidérés à chaque nouvelle innovation technologique.
Une production très prometteuse
Les premiers essais ont permis d’obtenir près de 10 tonnes d’étain en un mois. Fort de ce premier résultat, le Rwanda a mis en place les moyens d’extraire grâce à du matériel perfectionné, le volume très important de 120 tonnes par heure.
Autant dire qu’une telle capacité de production va intéresser les acheteurs qui cherchent à acheter en grande quantité mais surtout qui souhaitent être livrés dans les meilleurs délais. Des accords ont déjà été signés avec une compagnie de négoce afin de mettre en avant les capacités de ces mines qui renaissent au Rwanda. Les arguments en sa faveur ne manquent pas avec une sécurisation du site via une licence minière.