L’or a connu une ascension impressionnante depuis quelques temps. Apparemment, la crise de l’Euro n’est toujours pas terminée vu cet essor fulgurant de la valeur du métal jaune.
L’or est toujours en pleine tendance
Le mercredi 20 mars dernier, l’once est évalué à 1 610.20 dollars. Si l’or était un ancien usage monétaire, il garde un rôle important en matière d’échange car c’est aujourd’hui une réserve de change pour tout pays ayant une unité monétaire.
La valeur du métal jaune évolue en augmentant au fil des temps et ne risquera jamais de connaître une baisse. La possession d’or pour un pays quelconque est fortement indispensable car l’or révèle l’économie avec sa fonction de réserve monétaire.
La place du billet vert
La prise de cap de la Réserve Fédérale Américaine qui n’est d’autre que la banque centrale des systèmes des Etats-Unis a occupé l’esprit pendant un certain temps. D’ailleurs, cette Réserve a une volonté pour aller sur le dollar à acheter les prêts hypothécaires et autres actifs avec un chiffre déjà engagé.
Cet acte pourrait avoir des conséquences de dévaluation vis-à-vis du dollar d’après les commerçants, surtout que la Fed a imprimé plus d’argent pour payer les achats accrus. Le billet vert a même reculé face à la devise nippone en l’espace de vingt-quatre heures seulement avec 112,01 yens contre 111,96 yens à la veille.
Quant à l’Euro
Même si cette monnaie unique de l’Union Européenne a connu une légère augmentation de 1% face au dollar américain par rapport aux semaines précédentes, il faut reconnaître que c’est la plus faible taux de change en sept mois. Cette hausse est d’autant plus aidée par le succès d’émissions obligataires en zone Euro.
Depuis l’existence de cette unité monétaire qui date de l’année 1995, ce nouveau rythme descendant s’avère le plus rapide. Il s’agit d’une situation qui demeure fragile d’après un analyste de Forex.com étant donné que des pays comme l’Espagne, l’Irlande, la Grèce et d’autres ont effectués des opérations qui permettent de confirmer la capacité de tous les pays de la zone euro à lever des fonds sur les marchés même si elles demeurent très coûteuses pour les Etats.
Une question se pose alors: l’or tiendra t’il sa place?